Tu sais, j’ai hurlé ton nom dans le vide
Le cœur en larmes, l’esprit livide
Abattue, j’ai pris les coups
Les mots tranchants, les regards flous
Penser... ou ne plus penser
Juste pour ne plus t’imaginer
Ne plus attendre que tu reviennes
Dans mon monde où plus rien ne m’enchaîne
Ce monde noir, sans foi, sans loi
Où je ne veux plus croire en toi
Mais t’avais rien dit, rien promis
Juste toi, là, assis sur mon lit
J’savais pas quoi dire
Mais j’voulais te bannir
Te hurler dehors, crier ma peine
Mais rien ne sortait, rien de cette haine
Mes gestes figés, ma voix coupée
Et mes mains tremblaient sans s’arrêter
"Pourquoi t’es là ? Tu devais pas."
C’est tout ce que j’ai murmuré, tout bas
Tu sais, je ne lui ai pas ouvert
Je l’ai laissé seul dans cet enfer
Là où il m’avait abandonnée
Je crois que j’ai voulu oublier
A-t-il menti ?
M’a-t-il perdue ?- trahie ?
Je sais juste que je t’ai bloqué
Mais dans ma tête, t’étais resté
Oh putain, t’étais réel
Ma douleur, mon manque éternel
Et c’est là que tu m’as laissée
À mes pensées, à mes regrets noyés
Tout était flou, sauf la solitude
Et l’abandon en habitude
Je vais replonger, encore, encore
Dans ce cerveau qui crie plus fort.
Le cœur en larmes, l’esprit livide
Abattue, j’ai pris les coups
Les mots tranchants, les regards flous
Penser... ou ne plus penser
Juste pour ne plus t’imaginer
Ne plus attendre que tu reviennes
Dans mon monde où plus rien ne m’enchaîne
Ce monde noir, sans foi, sans loi
Où je ne veux plus croire en toi
Mais t’avais rien dit, rien promis
Juste toi, là, assis sur mon lit
J’savais pas quoi dire
Mais j’voulais te bannir
Te hurler dehors, crier ma peine
Mais rien ne sortait, rien de cette haine
Mes gestes figés, ma voix coupée
Et mes mains tremblaient sans s’arrêter
"Pourquoi t’es là ? Tu devais pas."
C’est tout ce que j’ai murmuré, tout bas
Tu sais, je ne lui ai pas ouvert
Je l’ai laissé seul dans cet enfer
Là où il m’avait abandonnée
Je crois que j’ai voulu oublier
A-t-il menti ?
M’a-t-il perdue ?- trahie ?
Je sais juste que je t’ai bloqué
Mais dans ma tête, t’étais resté
Oh putain, t’étais réel
Ma douleur, mon manque éternel
Et c’est là que tu m’as laissée
À mes pensées, à mes regrets noyés
Tout était flou, sauf la solitude
Et l’abandon en habitude
Je vais replonger, encore, encore
Dans ce cerveau qui crie plus fort.
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